Natural enemies of cereal stemborers in east africa: A review
Publication Type
Journal Article
Journal Name
Entomologia Experimentalis et Applicata
Publication Date
1-1-1985
Abstract
The perception of cuticular female sex pheromone (15, 19, 23‐trimethylheptatriacontane=‘morsilure’) in Glossina m. morsitans was studied electrophysiologically and behaviourally. Electrophysiological studies indicated no sensitivity of the ‘tibial sensilla’ or the contact chemoreceptive hairs on the legs of males to the pheromone. However, electroantennograms were recorded during stimulation of antennae from male flies with the odour of morsilure, which indicated that the pheromone is detected by the insect via olfactory receptors on the antennae. This was further confirmed by behavioural experiments in which the antennal movements of intact males stimulated with the odour of both synthetic pheromone and female decoys were studied. Behavioural responsiveness to morsilure increased with increasing starvation and was not due to a general sensitivity to paraffins. These studies indicate that tsetse flies may be able to recognize conspecifics at close range using their sense of olfaction. La perception des phéromones chez la mouche tsé‐tsé La perception de la phéromone sexuelle des femelles de Glossina m.morsitans, la morsilure (15, 19, 23‐triméthylheptatriacontane) a été examinée par électrophysiologie et par le comportement. L'électrophysiologie n'a pas révélé de sensibilité des sensilles tibiales, ni des poils chimioréceptives de contact sur les pattes des mâles à la phéromone. Cependant, les électroantennogrammes recueillis pendant la stimulation des antennes des mâles par l'odeur de morsilure, ont montré que la phéromone est décelée par l'insecte grâce aux récepteurs olfactifs des antennes. Ceci a été confirmé ultérieurement par des expériences de comportement au cours desquelles ont été examinés les mouvements antennaires de mâles intacts stimulés par l'odeur de phéromone synthétique et de femelles. La réponse comportementale à la morsilure a augmenté avec le jeûne, elle n'était pas due à une sensibilité générale aux paraffines. Ces études montrent que les mouches tsé‐tsé peuvent être capables de reconnaître leurs congénères à faible distance grâce à l'olfaction. 1985 The Netherlands Entomological Society
Keywords
behaviour, chemoreception, electrophysiology, Glossina morsitans morsitans, morsilure, olfaction, sex pheromone, tsetse
Recommended Citation
den Otter, C., & Saini, R. (1985). Natural enemies of cereal stemborers in east africa: A review. Entomologia Experimentalis et Applicata, 39 (2), 155-161. https://doi.org/10.1111/j.1570-7458.1985.tb03557.x